Les conditions de vie des esclaves
étaient très douloureuses. On
frissonne encore aujourd’hui quand
on apprend comment vivaient ces
personnes. Le découragement était
interdit face au travail. On avait
promis à ces personnes de vivre
agréablement mais à l’inverse, ce
n’était qu’angoisse, horreur et
mélancolie.
Certains préférèrent même mourir
tant le désespoir était grand. Le
jour de l’abolition, ce fut une
grande fête.
François Biard traduisit cette
joie dans ce tableau où on voit
les anciens esclaves remercier les
auteurs de la loi.
Ecouter à nouveau l'enregistrement de la dictée ici |